Les marches du siècle


Le débat intérieur avec moi-même inside my mind du jour portera sur : Le libre arbitre et le droit à l'erreur !
Je n'ai absolument pas pris le temps de méditer sur le sujet ni même réfléchit à des mots bien articulés pour essayer de rendre la prose pertinente, j'ai juste un besoin urgent et viscéral de vider mon sac, où plutôt mon wagon-marchandise avant de formuler des phrases impertinentes que je risquerais de regretter à peine quelques secondes après les avoir notifié à l'intéressé !
Je suis, comme certains qui me connaissent à peu près parfaitement à force de pratique l'ont peut-être déjà débusqué, dans un état proche de l'apoplexie voir de la rupture d'anévrisme consécutive à un trop plein de mots retenus sous la contrainte dans un coin de ma bouche et qui se débattent, se bousculent, s'agitent, s'emmêlent, pour ne former qu'un fouillis informe sans queue ni tête, anxiogène et irritant !
Il m'arrive, particulièrement souvent, de me retrouver au pied du mur confrontée à une situation où je ne sais pas quoi faire, dire, répondre. Dans ces moments, j'ai un besoin incontrôlable de demander leurs avis aux personnes qui m'entourent, parce que fonctionnant au rythme de mon impulsivité, il m'arrive de devoir ramer (à main nues au milieu d'un océan déchaîné) pour tenter de rattraper les dégâts causés, telle une enfant devant justifier à ses parents furieux pourquoi le sol de sa chambre est jonchée de jouets brisés en mille morceaux après qu'ils aient refusé de céder à son dernier caprice. Bref, il m'arrive de m'emporter.
Dans le cas ici présent, j'ai demandé mille fois mille avis à mille personnes ... Ayant entendu tout et son contraire j'ai pu m'appuyer sur la théorie qui m'arrangeait d'avantage (autrement dit celle qui se rapprochait au plus près de ce que je comptais faire avant de demander un avis) avant d'agir en conséquence. Deux constats à cela, le premier étant que je donne toujours les éléments pouvant orienter une personne à me dire ce que j'ai envie d'entendre, le second, je finis toujours par faire ce que je pense le plus proche de ma propre façon de voir les choses. Bref, je n'en fais qu'à ma tête !
Pourquoi demander un avis alors ? Parce que c'est ainsi, on a toujours besoin d'un assesseur pour valider le bon droit de nos actes (manqués) ou de nos mots (maladroits), avant de se répéter en boucle que l'on aurait pas du l'écouter, et que tout se serait mieux passer si nous n'avions suivi que notre instinct ... FAUX ! WRONG ! MAUVAISE FOI CARACTÉRISÉE ! Depuis le début, nous n'avons écouté que nous en se servant vilement des théories d'autrui pour justifier les choix que l'on savait d'avance totalement voués à l'échec.

A cet instant précis, je m'apprête à demander à une personne de confiance de remémorer un point essentiel que  j'ai tendance à oublier, surtout quand je suis sur le point de déraper et de corrompre ma nouvelle liberté encore toute nouvelle qui sent encore la peinture fraîche :


MERCI  www.confidentielles.com pour tous ces petits mots qui nous ressemblent toutes !!!

Commentaires

Articles les plus consultés