Baptême du feu



AIEUUUUUUUUUUUUUH !!!!!
Pour une first, ça va j'ai bien géré. Après tout, j'ai pris 29 années pour me préparer psychologiquement à souffrir et répondre à des critères esthétiques imposés par une société machiste et puritaine.
Bon ok je m'égare.
Mais quand même, c'est quoi cette phobie du poils ? Et la torture que l'on s'impose pour approcher la perfection du crâne de Kojak ???
Il y a quelque chose qui m'échappe. Depuis le temps que les instituts de beauté existent, depuis tous ces siècles passés que les femmes usent d'ingiénosité pour modifier leurs attributs, et consacrer toute leur existence à la quête et conquête de partenaires, il n'y en a pas une, vraiment, qui n'a eut l'idée ingénieuse d'inventer une épilation facile, durable, peu onéreuse ET sans douleur ?
La lutte des femmes me paraît bien loin, Quand on lit la presse, ou regarde les médias, toutes et tous prônent la perfection physique (inatteignable sans Photopshop). Et pas seulement pour les femmes, les hommes et les enfants sont aussi visés !
L'amour du naturel, la relativité de l'esthétisme, la culture de la différence sont devenus prohibés !
Ne répondre à aucun critère, et revendiquer ce que l'on est de la tête au pied, mais surtout ce que l'on a DANS la tête sont devenus utopiques. De nos jours, il faut un courage hors du commun pour assumer de ne pas répondre aux éxigences de la beauté imposée par les industriels !!!
OK, je me calme.
Bah oui, surtout que j'aime bien le résultat. Pour un premier essai, je suis plutôt séduite par le résultat. Cela m'est très agréable d'avoir la peau toute duuuuuuce ... HOUUUU pas bien Laura, tu te laisses encore avoir par la norme !
TANT PIS !
Et comme par hasard :

CE SOIR sur FRANCE 4 VENDREDI 5 février 2010


Date : 05/02/2010

Horaire : 20H35 - 21H25
Durée : 49 mn

Selon que l'on soit un homme ou une femme, jeune ou vieux, noir ou blanc, nous avons tous une relation intime et passionnelle avec nos poils. Les poils repoussent Pour la grande majorité, le poil horripile. Il fait peur. Il repousse. Vade retro satanas. Alors, on le chasse, le pourchasse avec une méticulosité quasi maladive. Mais pourquoi tant d'acharnement ? Depuis que l'homme tient sur ses deux pattes arrières, il a essayé de s'en débarrasser. Exit les marques animales et bestiales

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